Genre : roman
concert
Titre
: L’Homme
qui plantait des arbres
Production :
Cappella
Forensis
Durée :
1h
A
partir de : 10
ans
Distribution :
avec
l’autorisation des éditions Gallimard –
direction
artistique
et arrangement Pierre
Bernard
– interprètes Laurent Chouteau (comédien), Damien Schulteiss
(clarinette), Denis Kracht-Noël
(marimba) et Sven Riondet (accordéon) – lumière
Eleonora Rodigari –
assistant de production Sven Riondet –
diffusion
Jean-Yves Ostro.
Photos :
©Chloé
Habasque– Capella
Forensis
Texte
de présentation :
Hymne
à la nature et à la vie !
Voilà
un véritable manifeste écologique que
ce spectacle musical entre Giono, Ravel, Schubert et
Beethoven.
Trois
musiciens sur scène accompagnent le comédien dans son voyage de 40
ans, sur les pas d’Elzéar Bouffier, le berger planteur d’arbres.
Texte
et musique s’entrecroisent et se nourrissent, laissant à
l’auditeur toute latitude de voler vers les
paysages
sublimes de la Provence .
A
l’origine de ce spectacle, l’idée du paysage. Et immédiatement,
deux œuvres sont venues à l’esprit
de Pierre Bernard. L’une
littéraire, le texte de Giono, et l’autre musicale, « Ma
Mère l’Oye »
de Ravel. Deux œuvres qui se répondent,
portant une vision comparable du paysage, à la fois intime et
extraordinaire,
descriptive
et sublimée, naturaliste et humaniste. Ce qui réunit aussi Giono et
Ravel, c’est la perfection du langage, le même souci de la
mélodie/de la phrase parfaite.
C’est
optimiste et
nécessaire à une prise de conscience capitale
!
Programme
musical :
Ludwig
van Beethoven, 9e symphonie, 3e mouvement
Franz
Schubert, Winterreise, « Erstarrung »
Ludwig
van Beethoven, 7e symphonie, 2e mouvement
Ludwig
van Beethoven, 6e symphonie, 1er mouvement
Franz
Schubert, Impromptu n°3 en sol bémol majeur
Ludwig
van Beethoven, 6e symphonie, 5e mouvement
Maurice
Ravel, Ma Mère l’Oye, « Le jardin féerique »
Tarifs : 15€
- 10€
-
8€
- 5€
(voir pages 61/62)
Presse :
«Le
conteur,… dans une diction parfaite, nous donne à entendre avec
émotion et une certaine gravité ce merveilleux texte… qui résonne
comme une prière.»
(Libre
théâtre)